Stéphanie d'Oustrac
PRESSE    

"La mezzo-soprano Stéphanie d'Oustrac .../... a stupéfié par la force et le rayonnement de son incarnation dans le rôle fétiche de l'héroïne de Bizet, faisant du coup pâlir le souvenir de bien de ses illustres devancières."

"saluons d'emblée la naissance d'une grande Carmen, avec laquelle il faudra désormais compter."

"Dans la Voix Humaine, le drame est incandescent grâce à la superbe incarnation tant vocale que scénique de Stéphanie d’Oustrac. La voix est longue et semble facile se jouant des terribles difficultés semées par Poulenc. Les aigus sont admirablement projetés et rayonnent sans effort. La beauté de la voix est présente dans tous les registres. Le texte si fort de Cocteau est défendu avec passion. Le personnage est désarmant, bouleversant et agaçant à souhait. Une incarnation grandiose pour Stéphanie d’Oustrac ! "

"Flattés par l’environnement scénique et orchestral, ceux-ci s’épanouissent avec bonheur. En premier lieu, Stéphanie d’Oustrac endosse avec succès le costume de la Périchole. Sa voix, qui subjugue p son et sa maîtrise (du vibrato, du legato), s’allie à une présence pétulante pour former un personnage complet, formidablement attachant dans sa Lettre d’adieu du I et, plus loin, dans l’incontournable « Tu n’es pas beau, tu n’es pas riche »."

"splendeur vocale de Stéphanie d'Oustrac au timbre pluriel, changeant et beau comme la robe d'un grand cru. ». "

"la jeune mezzo française est une chanteuse estampillée Arts florissants. Un label « qualité » qui éclipse aujourd'hui, en garantie de talent artistique, de personnalité théâtrale, de culture et de distinction person­nelle, tous les prix de conservatoire et autres distinctions d'académie ou d'école d'art lyrique ! Révélée à Ambronay en 1998 par sa Médée (dans le Thésée de Lully), Armide hier, Cybèle demain (dans la reprise d'Atys, Salle Favart, en 2011), Stéphanie d'Oustrac ne s'abonne pas uniquement à la tragédie lyrique ni à la direction de William Christie. Toulouse l'a acclamée dans La Voix humaine, de Poulenc, Lille va la découvrir dans sa première Carmen, de Bizet (1).
Comme le proclame le dernier lied berceur de son récital Haydn, « das leben ist ein traum », la vie est un rêve !»."



"On attendait particulièrement la première Carmen de Stéphanie d'Oustrac, .../... On a peine à croire que c'était une prise de rôle, tant son incarnation était accomplie."

"Flattés par l’environnement scénique et orchestral, ceux-ci s’épanouissent avec bonheur. En premier lieu, Stéphanie d’Oustrac endosse avec succès le costume de la Périchole. Sa voix, qui subjugue par son ampleur et sa maîtrise (du vibrato, du legato), s’allie à une présence pétulante pour former un personnage complet, formidablement attachant dans sa Lettre d’adieu du I et, plus loin, dans l’incontournable « Tu n’es pas beau, tu n’es pas riche »."

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